Res Musica / Patrice Imbaud : Ambiance cabaret pour L’Enlèvement au sérail à l’Opéra de Rouen Une transposition parfaitement cohérente, qui surprend au premier abord, mais qui rapidement séduit par sa cohérence, son humour, sa théâtralité (marionnettes, magie, travestissements, chorégraphie), sa direction d’acteurs millimétrée et sa scénographie éclatante, exaltée encore par les éclairages superlatifs de […]
Archives par catégorie : revue de presse
UN VOYAGE À REIMS / PHILHARMONIE DE PARIS, CNSMDP / MARS 2015
Classica / Cinzia Rota Madame de Staël à l’Auberge cyber-punk du Lys d’Or Un grand bravo, donc, à ces artistes qui non seulement font preuve d’assurance sur scène, mais osent surtout prendre des risques ! L’éducation musicale / Patrice Imbaud La mise en scène intelligente, utilisant habilement un deuxième niveau de lecture en intégrant le […]
LA JEUNE FILLE SANS MAINS / OPÉRA DE DIJON / FÉVRIER 2015
Le Bien Public / Isabelle Truchon : Quand le conte rencontre l’opéra
PEER GYNT / OPÉRA DE DIJON / MARS 2014
Le Bien Public – Peer Gynt, l’antihéros superbe (…) la décision de l’Opéra de Dijon de réunir texte et musique dans leur version originale est apparue comme un challenge qu’il vient de remporter haut la main. (…) Puisqu’il s’agit surtout de théâtre, il convient de saluer tout d’abord le travail d’Emmanuelle Cordoliani. Sa mise en scène, qui […]
FORTUNIO / OPÉRA DE LIMOGES, RENNES et SAINT-ETIENNE/ NOV. 2013 à NOV. 2014
Resmusica - Vincent Deloge Le charme si français de Fortunio à Rennes (…) Emmanuelle Cordoliani a réalisé un travail de direction d’acteurs très précis, permettant une grande fluidité du spectacle. S’appuyant sur des décors et costumes spirituels et colorés, elle parsème la représentation de joyeuse trouvailles jusqu’à une image finale très réussie qui témoigne d’une belle […]
THE COMICAL HISTORY OF DON QUICHOTTE/Festival de musique baroque de Lyon/Fev 2012
concert classique.com – Luc Hernandez (…) une formidable direction d’acteurs signée Emmanuelle Cordoliani. L’ensemble traduit merveilleusement l’esprit de Purcell, avec ce mélange inimitable de trivialité et de fantaisie surnaturelle, le plus souvent porté par le libertinage et une misogynie vacharde.