Le Journal des Spectacles – Caroline Alexander
“(…) Elle n’est pas encore connue du grand public Emmanuelle Cordoliani, comédienne, dramaturge, prof d’art lyrique au Conservatoire National de Paris, ex- bras droit d’une brochette de metteurs en scènes aux talents pointus, et réalisatrice déjà d’une bonne poignée de spectacles musicaux et dramatiques, mais cette Italienne à Alger débordante de vitalité et de gaieté vient de la placer dans l’orbite des grands (…) »
Classica – Philippe Tahn
« Emmanuelle Cordoliani dirige ses acteurs avec habileté, transposant l’intrigue dans un sérail début de siècle auquel l’irruption de la pétulante Italienne fera découvrir la modernité des années 1960 et émaille son propos de quelques jolis effets scéniques.»
La Gazette de Montpellier – Robert Sabatier
La production donnée à l’Opéra Comédie jusqu’au 10 avril est en tous point le spectacle de l’année (…) La mise en scène d’Emmanuelle Cordoliani est au diapason de la direction d’Alain Altinoglu, inventive, tonique, de bon goût et surtout virevoltante.
Hérault du Jour – Jean-Christophe Carré 08/04/05
« Pur moment de bonheur au service de la cause féminine :
Cordoliani et Altinoglu offrent un exemple de la synergie entre la mise en scène et la direction musicale qui devrait régner sur les productions musicales. Mourir de rire et de plaisir, c’est tout le sel de cette production lyrique. Aucun effet saugrenu et tape à l’œil n’entache ce conte poétique qui pétille comme du champagne. »
Midi Libre – Jérôme Bernède 08/04/05
« Un régal de Gourmandise (…)
Emmanuelle Cordoliani a, elle, parfaitement bien digéré cet art délicat de la cuisine de l’opéra bouffe. Ni trop chargée, ni trop fade, son interprétation de la recette de Rossini et d’Anelli est un pur délice pour palais mélomane, zygomatiques et neurones…
Faisant confiance à l’imagination du public (on lui en sait gré : il est toujours plaisant d’être invité à rêver) et à la puissance de l’œuvre, elle ne surcharge pas le plateau de scène des clichés et falbalas attendus dans une turquerie.
Anaclase.com – Delphine Roullier
Ce soir, l’opera buffa s’est libéré des recettes traditionnelles, produisant un spectacle qui se risque à l’aventure de l’humour. Un conte haut en couleur, un beau voyage, en proie à la surprise et à l’inattendu, un charme évaporé aussi vite qu’apparu, mais dont on se souvient : c’est ce qu’on appelle la magie de l’instant. »